apotropein est une pièce porte-bonheur, une amulette à accrocher au-dessus de la porte pour se porter chance.
Autour du mot apotropaïque découvert à la lecture de L’Infinie Comédie de Foster Wallace, s’enroulent la question de la recherche de l’excellence, du renvoi de l’autorité inter-textuelle, et la relative transparence du vernis savant qu’on étale pour ne pas avoir l’air émotif.
Dans cette micro-fiction bibliographique condensée sur une page, quelques indices viennent rappeler les différents ouvrages détournés, choisis pour le caractère indépassable qu’on leur prête : L’habillage graphique de L’Infinie Comédie, et la préface d’Ulysse de Joyce.
apotropein a été exposé dans le cadre de l’exposition qu’en est-il de l’anguille ?, aux Ateliers Rhiz[h]ome, à Mons (BE), ainsi que lors de l’exposition La Geste, à Bruz (FR -35)