Accompagnant le projet qu’en est-il de l’anguille ?, j’aimerais dire le moins de bêtises possible est une pièce sonore noise entièrement générée à partir de données « émises » par le territoire de Saint-Nazaire et de la péninsule de Guérande.
Découpée en quatre parties, correspondant chacune à un type de données différent, cette pièce est conçue comme une exploration de couches successives, passant de profondeurs géologiques à l’agitation stridente de coordonnées GPS délimitant la presqu’île.
Exprimant ainsi la diversité et la complexité d’un langage qu’on pourrait présenter comme celui du territoire lui-même, misant sur la sérendipité et la progression à tâtons dans les différents degrés de rugosité.
Il existe également un enregistrement d’une version précédente de cette pièce, accompagné de visuels génératifs créés en temps réel :
j’aimerais dire le moins de bêtises possible a été performée :
- lors de l’exposition qu’en est-il de l’anguille ? À Mons (BE)
- lors du cycle d’évènement Park Inn, à Saint-Nazaire (44 – FR)
- et lors d’une soirée performances dans le cadre de l’exposition des objets étranges, à Nantes (44 – FR).
Elle a été diffusée par l’Institute of Spectra-Sonic Sound, ainsi que durant l’exposition Sound 23, de LCB Depot, à Leicester (UK)